Ce constat fait dès le début de l'année 2000 n'a fait que se renforcer au fil des années.
Aujourd'hui des PRÉSIDENTS ILLIBÉRAUX comme E.Macron ont bien compris l'avantage qu'ils pouvaient tirer de cette faiblesse structurelle.
Les manifestations, qu'elles soient pacifiques ou violentes, avec peu ou un grand nombre de participants, n'ont jamais fait pencher la balance en faveur de mieux de démocratie.
La France et les pouvoirs successifs restent définitivement hermétiques aux principes de dialogue et de compromis comme cela se pratique dans des pays socialement plus avancés.
Le cas E.Macron n'est que l'ultime avatar de ce plafond de verre qui, avec délectation, voit une manière supplémentaire d'affaiblir les classes concernées pour mieux les contrôler.
Les moyens d'actions syndicaux utilisent le plus souvent les vecteurs conventionnels pour leurs grèves ou mobiliser les français dans la rue :
Ces méthodes réclament des mobilisations personnelles et financières importantes pour des résultats qui n'ont jamais prouvés, depuis bien longtemps, leur efficacité tout en provoquant des effets de bords de plus en plus mal tolérés.