Comme l'a dit le président du conseil scientifique Covid 19, Jean-François Delfraissy, « Ce virus est une vacherie ».
Une fois ce constat établi, il reste à trouver les moyens non seulement de maîtriser la pandémie actuelle, mais aussi d'envisager quel devrait être le monde d'après.
Répétés depuis le début de cette pandémie, nous rappellerons tous les élements de style de vie qui sont réclamés pour limiter l'extension de celle-ci dans la population :
-adopter les gestes de distanciation.
-utiliser les moyens de protection passifs.
-employer les mesures d'hygiènes efficaces.
Il est évident qu'une fois maîtrisée cette première phase d'urgence et, espérons-le celle de déconfinement, il nous faudra bien adapter nos modes de vie en fonction de cette pandémie, mais aussi en fonction de celles qui risquent bien d'arriver dans des futurs proches.
Souhaitons que les recherches nous amènerons des solutions médicales viables et pérennes. Nous pouvons néanmoins évoquer les aménagements éventuels pour améliorer l'efficacité.
-mesures des paramètres : portiques de température et de tests oraux et sérologiques automatisés pour un accés public facilité,
-médicaments spécifiques en prévention.
-vaccins.
-autres méthodes comme la plasmaphérèse.
Depuis de nombreuses années, nos services hospitaliers, de recherche et industriels se plaignaient d'organisations et de managements désuets.
Malgré les alertes répétées, internes comme externes, aucune action n'a pu remettre en cause une gestion financière et humaine délétère responsable de cette tragédie sanitaire.
Énumérons quelques pistes de réflexion à envisager.
-analyse, définition des filières stratégiques.
-création de circuits décisionnels 'courts' pour les situations d'exception.
-remise à plat de l'organisation et des missions des fonctions comme des services publics
-création ou relocalisation des filières qui répondent aux critères stratégiques.
-ré-évaluation des relations dans les recherches croisées public / privées.
-ré-appropriation des recherches, fondamentales, industrielles, scientifiques.
-nouvelles estimations budgétaires.
-remise à plat des ressources indispensables aux missions prioritaires.
-traque fiscale et suppression des moyens de détournement des recouvrements financiers.
-etc.
Qu'adviendra t-il dans l'ère d'après ? C'est ça la bonne question (IRobot...)
L'histoire des grandes catastrophes humaines précédentes nous enseignent que les vecteurs néfastes à notre survie sont souvent liés, de près ou de loin, à nos 3 besoins vitaux : l'eau, l'air et l'alimentation. Nous en excluerons d'autres comme le rayonnement, les événements planétaires etc.
Une émission de France 2 évoque l'élaboration d'un masque virucide par l’entreprise Paul Boyé Technologies de Labarthe-sur-Lèze (Haute-Garonne), près de Toulouse.
Pour voir la vidéo et l'article, voici le lien :
Coronavirus : un masque virucide élaboré en France
Suite à cette émission, j'ai envoyé le message ci-après le 29 janvier avec une réponse agréable de leur part :
Les masques efficaces sont tout sauf esthétiques.
Et du coup n'existerait-il pas un concept qui pourrait marier les 2 : efficacité et esthétique.
Dans ce cas serait-il possible de concevoir des masques en tissus ou autre matière propice à la décoration, en lui adjoignant un filtre de votre conception, changeable en temps et en heure.
Mieux, les masque tissus pourraient alors être raisonnablement perméables étant donné que derrière votre filtre ferait le travail. Tout un tas d’éléments pourraient être ajoutés au masque tissus pour rendre le changement de filtre pratique et sans danger, avec pourquoi pas des détections de durée d'efficacité une fois posé etc.
Je vois bien le masque tissus comporter des mini-velcro pour supporter le filtre placé à l'intérieur avec à la clé économie de matière et de production, facilité de transport dans les sacs à main, facilité de traitement aux UV pour décontamination, adaptabilité maximum à tous les environnements (supports tissus en fonction des activités).....
Dans l'avenir, il pourrait alors être évoquée une norme pour les masques tissus qui permettrait de leur associer des filtres bactéricides et/ou virucides de qualité tout en protégeant le marché.
Quand j'évoquais un délire début 2020, un an après celui-ci se transforme en réalité de 'geek' qui s'arrache.
Du coup c'est avec un immense plaisir que j'ai posté des commentaires sur le site du JdG.
Voici le lien pour les remercier pour leur déontologie et leur objectivité et découvrir par la même occasion leur site :
Aller voir le Journal du Geek
Retrouvez aussi mon commentaires sous forme de copie d'écran.
Découvrez mon commentaire sur le JdG
Ce casque qui ferait filtre et audio reprend exactement ce que j'avais imaginé il y a un an.
C'est un immense honneur de constater que des bonnes idées puissent enfin trouver un echo positif auprès des professionnels.
Un mail a été envoyé à BFMTV.
Voici la vidéo de BFMTV en partage :
Wil.I.AM : Xupermask : son casque fait aussi masque !
Le délire cette fois-ci est bien devenu réalité.
L'entreprise a conçu un masque 'transparent' équipé de turbines et de filtres comme je l'évoquais début 2020.
Le reste viendra certainement en son temps pour rendre cet objet utilisable en environnements 'diversifiés'.
Les outils de communications, de géolocalisation ou les headup display devront amener des conforts propres à séduire du pilote au contrôleur aérien, du médecin au chef de chantier. Chacun pourra éventuellement exprimer ses besoins et les adaptations indispensables à l'exercice de leurs métiers.
L'ultime réalisation serait de ne garder que les pièces indispensables, en faisant en sorte que les flux d'air dispensent au maximum de l'utilisation de coque ou de masque tout en assurant une enveloppe de sécurité autour du visage. Etudes en soufflerie, miniaturisation et surtout customisation (esthétique, logicielle, hardware) devront être de la partie pour un succès partagé par le plus grand nombre.
Voici le lien pour découvrir leur site :
Visiter MASK OFF
Page 50, un encart 'Ventilation : un impact sous-estimé' dit ceci :
D'après nos calculs, une bonne ventilation permettrait de diviser le taux d'infection par 5 contre 3 pour l'usage des masques, lance Bruno Andreotti, physicien à l'université Paris-Diderot. Le gouvernement a pourtant jusqu'ici très peu insisté sur ce point, contrairement à l'Allemagne. Ventilation mécanique poussée et systèmes d'épuration de l'air (filtres HEPA, UV...) pourraient avoir un grand impact....
Je leur ai envoyé le 17 Janvier 2021 un commentaire pour parution dans une de leurs prochaines éditions.
Une infection de l'hôpital de Dieppe semble confirmer que le port du masque n'est certainement pas suffisant dans les environnements à forte concentration virale. Pour autant, en France, personne ne prête attention à l'apport complémentaire que pourrait offrir les systèmes de ventilation anti-viraux.
L'idée de l'aération en tant qu'élément essentiel dans la propagation du virus fait son chemin.
Dans l'émission C DANS L'AIR, Antoine FLAHAULT, docteur en médecine et en biomathématiques, préconise l'installation des capteurs de CO2 dans les écoles, en profitant des vacances scolaires de février pour équiper les établissements.
Ces capteurs évaluent le taux de CO2 en fonction du volume de la pièce et du nombre de personnes, et indiquent par des led de couleurs qui passent de vert à rouge, le niveau de 'pollution' et donc par là même le niveau de risque de contamination.
Ces niveaux indiquent donc les limites au-delà desquelles une aération devient 'obligatoire', qu'elle soit manuelle ou bien mieux, qu'elle soit gérée par des systèmes automatiques d'extraction/traitement d'air.
Cette idée pourrait aussi faire son chemin pour tous les espaces fermés.
Durant l'émission, toutes les analyses et solutions ont été de nouveau abordées avec les avis 'éclairés' de spécialistes choisis mais, comme à l'accoutumé, aucun de ceux ci n'a évoqué le rôle d'une 'aération sérieuse' pour résoudre une partie de l'équation santé - économie - confinement !
J'ai pris la peine de leur envoyer un sms qui n'a pas retenu leur intérêt.
L'aération controlée permettrait d'ouvrir les établissements mais personne ne souhaite en parler jusqu'à la fin du quoiqu'il en coûte.
L'entreprise DR Technologie située à Lavelanet, au sud de Toulouse et à l'est de Foix, qui travaille déjà pour la Défense, a developpé avec l'expertise des pompiers de l'Ariège un module qui se déploie, à l'image des tentes Decathlon, en moins de 10' sur les lieux d'intervention.
Sa spécificité, en plus de la rapidité de mise en oeuvre, réside dans le fait que les parois sont 'virucides', c'est à dire que les virus n'ont pas de possibilité de s'accrocher sur elles et donc dispense des obligations de décontamination.
Le nombre d'entreprises innovantes en France donne de grands espoirs quand aux possibilités de traitement de ce virus et de ceux à venir.
Paul Boyé Technologies étudie un masque 'actif', DR Technologie developpe des tissus de module eux aussi 'actifs'.
2 entreprises, 2 actions qui pourraient se compléter : les filtres pour Paul Boyé Technologies, les masques tissus micro-perforés et customisables pour DR Technologie, est-il possible de réver d'un duo gagnant, d'autant que ces 2 entreprises sont proches l'une de l'autre. Un rêve français !!!!
Les innovations sur le traitement de l'air viennent, petit à petit, sur le devant de la scène médiatique comme possibilité d'élimination du virus Covid-19.
Beewair apporterait une solution primée au Concours Lépine 2013 qui serait efficace à plus de 99% contre lui et ses variants.
Toutes les technologies de traitement d'air sont les bienvenues mais cette solution, comme d'autres, devra sortir du rôle ponctuel pour s'inviter dans des systèmes de traitement global à l'image des CTA (Centrales de Traitement d'Air).
Il est indispensable qu'elle puisse être mise en oeuvre comme un système en réseau afin de mieux maitriser le traitement et sa supervison puis ensuite la distribution vers l'ensemble des espaces concernés, à l'image d'autres réseaux comme le numérique, l'électricité ou l'eau.
C'est avec cette évolution qu'elle pourra gagner sa place dans les grands espaces comme les salles de cinéma, les restaurants, les salles de spectacles, les établissements publics ou privés commes les hôpitaux ou les cliniques, les espaces opérationnels comme ceux de centrales nucléaires ou des centres et tours de contrôle aérien, la liste est infinie.
Un lien pour en savoir plus sur cette entreprise : Beewair.fr
Un lien vers l'article du MIDI LIBRE : Midi Libre : Dans l'Hérault, Beewair a conçu un dépollueur d'air contre le Covid-19
Plus de 44000 contaminations en environnement hospitalier, voici le bilan de Janvier 2020 à Février 2021.
Encore une démonstration de l'inaction coupable des pouvoirs publics dans le domaine de la réduction des risques en ce qui concerne les hôpitaux.
Dans ces établissements, encore plus qu'ailleurs, le traitement antiviral globalisé de l'air permettrait de réduire voir de supprimer les infections et les décés, mais aucune initiative autre que les masques ou les gels et parfois le traitement symptomatique d'un foyer.
Au sujet des gels, ce qui est terrible c'est l'illusion d'immunité que procure celui-ci. Énorme erreur, constatez le nombre de gens qui tripote les fruits et légumes dans un hypermarché, et vous aurrez toute la mesure de l'inefficacité des gels à l'entrée. Ce que les recommandations ont oublié de marteler c'est qu'à chaque fois que vous touchez un élement étranger à votre envrionnement habituel, il faut ensuite ne pas porter ses mains au visage et surtout les nettoyer au gel dès que possible. Une simple poignée de porte infectée et c'est la propagation du virus assuré.
Alors petite suggestion : ayez toujours sur vous dans une poche un petit flacon rempli de gel et prenez l'habitude de l'utiliser dès que vous avez touché des objets dont vous n'avez pas la certitude qu'ils n'ont pas été manipulé de façon rigoureuse.
C'est indispensable au quotidien et encore plus en environnement hôspitalier.
Évoqué depuis avril 2020, le traitement de l'air reçoit ses lettres d'intérêt à l'Assemblée Nationale dans la réponse de Jean-Luc MÉLENCHON à la demande de vote du gouvernement de Jean CASTEX sur les mesures de confinement dévoilées par le Président de la République Emmanuel MACRON dans son discours du 31 Mars 2021.
Depuis presque un an, je mets en avant le rôle primordial du traitement de l'air comme arme supplémentaire contre le Covid 19. Aucun média ne s'est intéressé réellement au sujet qui aurait pu, grâce à eux, recevoir un appui national et soutenir ainsi les multiples entreprises qui apportent des solutions techniques viables.
Ainsi les hôpitaux ont vu les maladies nosocomiales exploser, les commerces ont été contraints de fermer, les écoles ont propagé à bas bruit la pandémie et même l'Assemblée Nationale n'a pas bénéficié de ce traitement 'de faveur' comme le dénonce Jean-Luc MÉLENCHON lors du débat d'aujourd'hui après les décisions dévoilées hier par le Président Emmanuel MACRON et le gouvernement de Jean CASTEX.
Alors de faillites de décisions en faillites de précautions, combien de temps faudra t-il attendre pour que chacun enfin se décide à recenser, diffuser et coordonner des actions et solutions pour sortir victorieux de cette pandémie et de son triste bilan mortifère.
Il est de plus en plus révoltant de constater qu'en France, aucune entité ne s'émeuve d'une situation où nos entreprises de traitement de l'air sont plébiscités à l'étranger, et complètement ignorées dans l'hexagone.
Pourtant c'est la solution qui donnerait de la latitude pour ouvrir les espaces comme les restaurants, les musées, les cinémas.
Des tests grandeur nature menés sur 5000 personnes lors d'un concert à Barcelone qui a eu lieu le 27 mars dernier prouvent la validité de la disposition.
Josep Maria Llibre, médecin de l’hôpital 'Germans Trias i Pujol' de Badalone établit le constat suivant : "Avec une ventilation optimisée, des tests antigéniques et le port du masque, on peut garantir un espace sûr"
Alors faut-il que cette colère se diffuse via un hashtag pour que les choses bougent enfin dans ce pays !
Le CNRS de Lyon investit toutes ses compétences pour mettre au point un système de détection du Sars-Cov-2 à l'image des moyens employés par la Gendarmerie Nationale.
Découvrez sur le site du CNRS leur description détaillée de juillet 2020
Covid-19 : mettre à profit notre expertise sur l’analyse de l’air pour traquer le virus
Découvrez sur le site France TV leur publication
Lyon : le test d'un nouveau dispositif de détection du Covid-19
Comme je l'ai évoqué en idée à développer dans le chapitre "Back to the future : les équipements à dispositions des services de contrôle ", il est évident que les contrôles 'mobiles' ne pourront continuer à utiliser les moyens actuel de l'écouvillon vu la lenteur et les risques liés aux manipulations (contamination, faux positifs ...). Il faudra dès lors envisager des appareils de contrôle à l'image des testeurs d'alcoolémie, à savoir un système portable avec embouts à usage unique. Dans ce domaine, comme dans celui des moyens médicaux plus massifs, d'énormes avancées restent à acquérir pour le Covid comme pour d'autres pathologies..
Gageons que nous aurons très bientôt grâce à des chercheurs comme ceux du CNRS des dispositifs portatifs qui permettront d'effectuer des détections des virus le plus efficacement possible.